Le carnaval haitien en long et en large (part VII)
Nous y voilà en 1996 où une autre tendance toute jeune va faire sa place sur le Champs-de-Mars. Il s'agit du Rap créole. Là c'est le groupe King Posse emmené par Fred Lisaire qui va ouvrir la barrière aux autres groupes des cette catégorie. La première année le Posse comme on l'appelait autrefois a fait fureur sur le parcours du défilé carnavalesque et porte ouverte à une multitude de groupes qui pour la plupart n'ont jamais eu la chance de faire le parcours mais qui enflammèrent radios et télévisions avec leurs meringues inoubliables.
Dans cette catégorie, la polémique était de taille, c'était aussi remarque que chez les groupes Konpa. King Posse, le doyen de la tendance Rap décida de ne pas lâcher d'un pas son rival ORS le groupe Original Rap Staff qui n'avait pas la langue dans sa poche. Au côté des ses deux ténors on trouvait tout un ensemble de groupes comme Chachou Boys, Metal-ice, Rap in Familly, Brothers posse...
A un certain moment,on parlait même de Salsanaval avec l'arrivée précipitée du groupe Trac emmené par Clinton Benoit. Pour assurer leur place sur le parcours des trois jours gras, les bandes à pied, tendance Rara ont décidé de marcher avec le temps. Comme les autres catégorie, il entre en studio pour sortir une meringue. C'est ainsi qu'on a connu en l’an 2000 le phénomène Laloz avec le bande RARAM. (Raranaval)
Ce n'est pas fini, le DJ aussi se mêlent de la partie et créent leur place non seulement au trois jour gras mais aussi au prélude carnavalesque au côté des bandes à pieds. Dj Fanfan, DJ Cash-Cash... sont les derniers du parcours du défilé sur le Champs de mars. D'où le Djnaval) En effet, des année 9o à aujourd'hui, le carnaval haïtien a connu un essor considérable.
En vingt ans, il intègre diverses catégories musicales haïtiennes qui pour la plupart étaient quasiment non tolérées par une bonne partie de la population urbaine haïtienne. Grâce à Nemours Jean-Baptiste, Webert Sicot, Théodort Beaubrun Juniors, Fred Lisaire, DJ Fanfan, Clinton Benoît…le carnaval haïtien offre aujourd'hui un menu super varié à la Nation haitienne qui adore plus que tout fêter à tue-tête. De quoi pousser nos responsables à prendre conscience que ce précieux sésame ne peut plus rester une affaire nationale mais un carnaval de renommé mondial. Pour ça il va falloir que les dirigeants et les concernés changent leur fusils d'épaule en arrêtant de s'enfermer dans une hantise compétitive quasiment inutil et en envisageant de rivaliser Venise et Rio afin de soumettre notre précieux carnaval à l’appréciation du monde entier.
Dans cette catégorie, la polémique était de taille, c'était aussi remarque que chez les groupes Konpa. King Posse, le doyen de la tendance Rap décida de ne pas lâcher d'un pas son rival ORS le groupe Original Rap Staff qui n'avait pas la langue dans sa poche. Au côté des ses deux ténors on trouvait tout un ensemble de groupes comme Chachou Boys, Metal-ice, Rap in Familly, Brothers posse...
A un certain moment,on parlait même de Salsanaval avec l'arrivée précipitée du groupe Trac emmené par Clinton Benoit. Pour assurer leur place sur le parcours des trois jours gras, les bandes à pied, tendance Rara ont décidé de marcher avec le temps. Comme les autres catégorie, il entre en studio pour sortir une meringue. C'est ainsi qu'on a connu en l’an 2000 le phénomène Laloz avec le bande RARAM. (Raranaval)
Ce n'est pas fini, le DJ aussi se mêlent de la partie et créent leur place non seulement au trois jour gras mais aussi au prélude carnavalesque au côté des bandes à pieds. Dj Fanfan, DJ Cash-Cash... sont les derniers du parcours du défilé sur le Champs de mars. D'où le Djnaval) En effet, des année 9o à aujourd'hui, le carnaval haïtien a connu un essor considérable.
En vingt ans, il intègre diverses catégories musicales haïtiennes qui pour la plupart étaient quasiment non tolérées par une bonne partie de la population urbaine haïtienne. Grâce à Nemours Jean-Baptiste, Webert Sicot, Théodort Beaubrun Juniors, Fred Lisaire, DJ Fanfan, Clinton Benoît…le carnaval haïtien offre aujourd'hui un menu super varié à la Nation haitienne qui adore plus que tout fêter à tue-tête. De quoi pousser nos responsables à prendre conscience que ce précieux sésame ne peut plus rester une affaire nationale mais un carnaval de renommé mondial. Pour ça il va falloir que les dirigeants et les concernés changent leur fusils d'épaule en arrêtant de s'enfermer dans une hantise compétitive quasiment inutil et en envisageant de rivaliser Venise et Rio afin de soumettre notre précieux carnaval à l’appréciation du monde entier.